Parce que nous partageons la philosophie qui consiste à penser que :
IMPRIMER, c’est laisser une trace, une empreinte sur une surface… Mais pas sur l’environnement.
Nous orientons systématiquement nos choix vers :
– Une imprimerie membre du réseau IMPRIM’VERT. Réseau engagé dans la volonté de réduire les impacts environnementaux liés aux activités de l’imprimerie. C’est une marque crédible parce que son cahier des charges est fondé sur trois critères simples :
la bonne gestion des déchets dangereux, la sécurisation de stockage des liquides dangereux et la non utilisation des produits toxiques. Les salariés de ces imprimeries sont de réels acteurs de cette démarche environnementale et sont sensibilisés au respect de ces critères. Leur engagement est clair et les résultats tangibles sur l’environnement.
– des encres végétales et non minérales : Les encres végétales destinées à l’imprimerie emploient principalement le soja et le colza. Elles présentent plusieurs avantages environnementaux et techniques. Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, les encres d’imprimerie privilégiaient les huiles végétales. À partir des années 1950, le pétrole et ses dérivés ont fait leur apparition. Grâce à leur prix compétitif et à leur disponibilité, ils ont détrôné leurs prédécesseurs. Mais quand sont survenus les chocs pétroliers, les fabricants d’encres et les laboratoires ont commencé à chercher des alternatives végétales au pétrole. Depuis la prise de conscience écologique a soutenu le mouvement et depuis dix ans, les encres végétales connaissent une popularité grandissante. Elles disposent de plusieurs atouts : elles utilisent des ressources renouvelables (huiles de tournesol, de colza, de soja, de lin…) , leur emploi permet de réduire les émissions de gaz carbonique. De plus, l’évaluation comparative entre les huiles minérales et les huiles végétales montre que ces dernières sont facilement biodégradables.
– du papier écologique car issu de gestion forestière dite “PEFC”. Le système PEFC (Pan European Forest Council), créé en 1999, est le plus répandu dans le monde avec 203 millions d’hectares de forêts certifiées. En France, 30% environ de la surface forestière (France métropolitaine) est certifiée PEFC. En tant qu’utilisatrice de fibres de bois, l’Industrie Papetière est directement concernée par la gestion durable des forêts. Celle-ci vise à maintenir la biodiversité et la capacité de régénération des forêts, ainsi que leur potentiel à satisfaire leurs fonctions écologiques, économiques, et sociales. Les systèmes de certifications forestières assurent la promotion de la gestion durable en faisant référence à des critères reconnus sur un plan international, et ils donnent aux industriels la possibilité de s’assurer que les bois utilisés sont issus de forêts gérées selon des critères fixés au niveau international.